The Dirty Projectors, c’est un seul bonhomme : le new-yorkais Dave Longstreth. Et ce dirty Dave, il fait tout : musique, textes, artwork et auto production. On aime ou on déteste, il faut aimer le beau dans le bizarre, le dissonant, les mélodies torturées…
Deux albums à retenir :
The Glad Fact (2003) – Son meilleur disque à mes oreilles, le plus brut.
The Getty Address (2005) – Opéra Rock improbable, illustré par un film d’animation réalisé par Dave Sumner.