I have been in you
I have been in you, baby
And you
Have been in me
And we
Have be
So intimately
Entwined
And it sure was fineI have been in you, baby
And you
Have been in me
And so you see
We
Have be so together
I thought that we would never
Return from forever
Return from forever
Return from forever…You
Have been in me
And understandably
I have been in ‘n’ outa you
An’ everywhere
You want me to
Yes, you know it’s trueAnd while
I was inside
I mighta been
Undignified
And that is maybe
Why you cried
I don’t know
Maybe so,
But what’s the difference now?I have been in you, baby
You have been in me
Aw’ little girl, there ain’t no time
To wash yer stinky hand
Go ‘head ‘n’ roll over
I’m goin’ in you again
In you again
In you again
In you again…I’m goin’ in you again-ahhh
In you again, ah!
In you again – ahhh
In you again, ah!
In you again – ahhh
In you again, ah!
In you again – ahhh
In you again, ah!I’m going in you again, baby
‘n’ can go in me too,
That’s true
I’m goin’ in you again, baby
‘n’ later when we get through
I’m goin’ in you again – ahh
In you again, ah!
In you again – ahhh
In you again, ah!
In you again – ahhh
In you again, ah!
In you again – ahhh
Frank Zappa – 1979, album « Sheikh Yerbouti »
Beaucoup à dire sur ces dernières semaines, très riches…
J’ai été injurié sur ce forum. Caricaturalement, avec une violence ridicule, les deux grands épouvantails Z que sont la manipulation du pervers narcissique et la non zébritude étant invoqués… Joli. Touché ? Pas touché ? Un mélange des deux. De la tristesse, comme une ombre sur sept mois de félicité ici. La conscience aigüe que je peux blesser, encore, par l’humour, ou là par l’indifférence. Mon projet de générateur d’insultes n’est donc pas si innocent, ou si idiot. L’humour ça sert à communiquer, à désamorcer, et donc aussi à blesser. Je l’ai testé dans ma chair, je ferais attention à ne pas le brandir trop haut ce générateur, faudra le prendre pour ce qu’il est. En rigolant, nous avons imaginé avec Loïc il y a quelques temps animer un topic faisant le résumé de la journée du forum. J’étais assez volontaire pour écrire dessus, moi qui lis tant ce forum. Je me voyais déjà résumer, caricaturer, ironiser, pamphléter… tout en gardant le plus possible un côté « bon enfant ». Un rendez-vous quotidien, et amusant. Nous n’avons pas osé le faire, et nous avons eu raison. Trop de susceptibilité, d’émotivité, d’enjeu.
Une réflexion aussi sur l’image que je donne ici, ou plutôt mon pseudo, cet avatar de poète musicien fou. Et l’envie de crier, parfois « Eh, mais ce n’est que moi, rien que moi ! »
Et ce rappel aussi au milieu de toutes ces rencontres que non, je n’aime pas tout le monde. Et pourtant j’en aime tant… Et il en reste tant que je n’ai pas encore croisé, et dont les écrits me touchent, me bouleversent.
Tous ces pseudos que j’ai croisé en vrai, et bien figurez vous que ce sont des gens, des vrais. Ces destins croisés, ces personnalités qui me touchent jusqu’à la reconnaissance. J’aime le socle de toulousains qui s’est tissé peu à peu, pas besoin de les citer, je crois qu’ils le savent… Les nouveaux qui arrivent régulièrement, quel bonheur de rencontrer les Basilice, Broutille, Ise, Ecopli… Quelle joie de délirer un soir avec ce Charmant Monsieur. Quel plaisir de rencontrer en tête à tête, au fur à mesure de mes pérégrinations dans ce beau pays, Fa, Isadora, Mjöllnir transformé depuis en Neme6, Doinel. De recevoir chez moi tous ceux que j’ai reçu… De croiser PauluZ, Camarillo, Aieourst… Jusqu’à la déception de ne pas revoir Loïc, ou Colargolle… De ne pas voir plus souvent Carla, Isanoff, Tipule, Lie – bon, le grand MegaHz se fait lui de plus en plus présent.
Et puis bien sur, elle. Celle qui partage ma vie aujourd’hui. Elle qui contribue à ce que l’enfant perdu à la fin de la quarantaine se mue peu à peu en un homme, conscient de ses failles, des ses faiblesses, mais aussi de ses forces. Qui peu à peu commence à rêver de puissance… Elle qui m’a accompagné dans ces fêtes, m’a suivi au milieu de cette famille – la mienne – qui me bouleverse tant, que je redécouvre au prisme du Z.
Je me suis amusé il y a quelques jours à dessiner mon arbre généalogique. Dieu que cet exercice n’est pas simple, pas anodin ! Épuisant émotionnellement… Une fois mon travail achevé, j’ai contemplé effaré cet enchevêtrement de ronds et de carrés, de flèches qui se croisent, de points d’interrogation. Un sentiment de confusion et de tristesse est monté, lentement. La constatation que ma famille n’est qu’une succession de solitudes, et de secrets… Cette confusion qui a hanté une grande partie de ma vie, elle viendrait donc de là ? Des fondations trop fragiles, des non dits en cascade, une difficulté à dire que l’on s’aime alors que cela crève les yeux… Des conflits non assumés…
Allez, je ne finirai pas ce petit pavé par une note triste, interdit. Au moment même où je suis heureux de vivre, d’éprouver, de ressentir, de redécouvrir la joie des fêtes et des moments passés avec les autres. Je recommence même à rêver, des rêves riches, foisonnants, touffus, intrigants, passionnants… Non, ce serait trop incongru.
Meilleures fêtes à vous tous. Et tiens, j’ai envie de paraphraser Magox : Aimons-nous, c’est vital.
Eros
She wants me. The smell of her perfume haunts me. I think of her every minute of the day. Shes so cool it turns me on. I want to be near her. Id like to kiss her on the neck in front of a mirror so I can watch her eyelids close from the passion. The only love she needs is everlasting. I got answers if shes asking. Dont be afraid of the outcome cuz I aint going no place. Ill kiss every crevasses of your face. First the corner of your mouth then I ease in. Licking your lips is pleasing to me. To see you smile for good reason. Be free with me baby. You can touch me if you like. Where ever you like, what ever feels right. From top to bottom buttons loosen and reveal the beauty concealed. I bring her close to feel what she feels. Cheek to cheek, making out, sneaking peeks. Two undercover freaks easing their way under the sheets.
When two people are in love.. (2X)
Her shirt falls, lips pucker, nipples rise. All I want to feel is the warmth between her thighs. I kneel at her waist, looking directly in her eyes. I unbutton her pants and pull down her fly, both of us quickly losing our shy girl and guy. My tongue begins glide as she guides my hands on a downwards slide inside. Finger tips touching hips. I look up and shes licking her lips. Both of her legs have a twitch. Her pants fall with the twist of my wrist. I kiss her thighs in a bliss, place her leg on my shoulder, kissing her lips and clitoris till she screams in a fit. Just to hear her call my name drives me insane. Her moans and groans will forever be imprinted in my brain. Let it rain, let it rain she came for her man whos here to soothe all her pain. Now that my blood flows anticipation grows and grows. I get closer so she knows.
When two people are in love.. (2X)
I press my body up against hers and we breathe in unison. She takes off her bra, rests her breast on my chest. Her warm skin sends a shiver down my spine. A mess of human flesh, were intertwined. I grab her from behind. Lift her hair; lick the back of her neck right down her spine. Tilt her toward the pillow and now shes mine. I grab her hips, blood rushing to the tip, I slip it in quick. This is it! The more moans the harder the hit. I need to hear her scream. I want her to release stress. A thousand orgasms on this mattress. I lay her down, she lifts her legs, I grab her ankles for another round. Theres people in the next room. We try not to make a sound, but consciousness cant be found when lost in lust two lovers drown. Im coming, shes coming around. An aftermath of heavy breathing, holding hands, side to side, laying down, knocking out and sleeping sound.
When two people are in love.. (2X)
Seven Star – 2006, album « Alternate Invention » – Botanica del Jibaro