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La maison et le monde

(de Harpo)

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Le métier de vivre

I have been in you

29 décembre 201211 mai 2015 Harpo

I have been in you I have been in you, baby And you Have been in me And we Have be So intimately Entwined And it sure was fine I […]

 Chansons, Histoires de zèbres, Le métier de vivre, Musique  Aimer, Rap, Rock, Zebracrossing  Écrire un commentaire

Rodolphe

28 décembre 201211 mai 2015 Harpo

Rodolphe était un grand enfant noir, immense, avec de grands yeux, et une chevelure à la Jimi Hendrix. Il était un peu spécial Rodolphe, il parlait (hurlait) un français impeccable […]

 Enfance, Histoires de zèbres, Le métier de vivre  Famille, Jazz, Zebracrossing  Écrire un commentaire

Comment ça va ?

12 décembre 20124 octobre 2014 Harpo

J’ai écouté les nouvelles du monde, passionnantes. On débat sur l’immoralité fiscale de Depardieu, et le Pape a enfin créé son compte twitter. Désolé, je n’ai retenu que ça. Avec […]

 Chansons, Histoires de zèbres, Le métier de vivre  Aimer, Chanson française  Écrire un commentaire

Marie, Appolinaire & Noël

5 décembre 201212 mai 2015 Harpo

Vous y dansiez petite fille Y danserez-vous mère-grand C’est la maclotte qui sautille Toute les cloches sonneront Quand donc reviendrez-vous Marie Les masques sont silencieux Et la musique est si […]

 Chansons, Histoires de zèbres, Le métier de vivre, Lire  Chanson française, Famille, Poésie, Zebracrossing  Écrire un commentaire

La vie double

18 novembre 201212 mai 2015 Harpo

  La vie double J’ai laissé grandir en moi mon ennemi. Dans les matériaux que je trouvai dans mon esprit, dans mes voyages, mes études et ma vie, j’en vis […]

 Le métier de vivre, Lire  Henri Michaux, Poésie, Psy, Zebracrossing  Écrire un commentaire

Le métier de vivre, de Pavese au goût du thé

12 novembre 201212 mai 2015 Harpo

29 novembre 1937. Est-ce qu’elle ne devra pas me surprendre, par un quelconque matin de brume et de soleil, la pensée que tout ce que j’ai eu a été un […]

 Cinéma, Le métier de vivre, Lire  Livres, Zebracrossing  Écrire un commentaire

Portrait Aspie

23 octobre 201225 août 2015 Harpo

Votre score Aspie : 118 sur 200 Votre score neurotypique (non autistique) : 88 sur 200 Vous semblez avoir des traits d’Aspie et de neurotypique J’ai refait le test pour […]

 Histoires de zèbres, Le métier de vivre  Zebracrossing  Écrire un commentaire

Générateur d’insultes

26 septembre 201211 mai 2015 Harpo

Envie d’écrire à nouveau un petit générateur d’insultes, mais un spécial Z Avec des trucs genre : « Vas-te faire tester, ‘spece de PN » (oui, je sais, celle là elle est […]

 Histoires de zèbres, Le métier de vivre  Écrire un commentaire

L’homme retrouve sa défaite : le quotidien

25 septembre 20122 octobre 2014 Harpo

Tristesse du réveil. Il s’agit de redescendre, de s’humilier. L’homme retrouve sa défaite : le quotidien. Henri Michaux C’est le matin, décompression. Va falloir de nouveau replonger dans la vraie […]

 Histoires de zèbres, Le métier de vivre  Écrire un commentaire

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    Henri Michaux

    Je fais un espace. Et tout y est violent. Et tout y est pour briser et pour être brisé. Et pour attaquer, pour se défendre en attaquant. C’est pourquoi, c’est fou ce que c’est tonique. Le changer semble difficile.

    Puis je fais un deuxième espace dont j’ai besoin apparemment. En cet espace règne une douceur, une horizontalité, une égalité, une harmonie… Cependant, sa satisfaction même ne se donne pas satisfaction. Il se défait par une sorte d’indifférence qui appelle l’endormissement.

    Façons d’endormi, façons d’éveillé

    ll faut donc un troisième espace. Cet espace est pour englober les précédents. Donc il doit être grand, plus grand. Et je le fais grand et de plus en plus l’agrandis pour que le premier et le second y tiennent. En vain. C’est autre chose que la grandeur ce dont il a surtout besoin pour les enfermer l’un et l’autre.

    Extrait du film « Charulata » de Satyajit Ray, 1964

    Henri Michaux


    Je fais un espace. Et tout y est violent. Et tout y est pour briser et pour être brisé. Et pour attaquer, pour se défendre en attaquant. C’est pourquoi, c’est fou ce que c’est tonique. Le changer semble difficile.

    Puis je fais un deuxième espace dont j’ai besoin apparemment. En cet espace règne une douceur, une horizontalité, une égalité, une harmonie… Cependant, sa satisfaction même ne se donne pas satisfaction. Il se défait par une sorte d’indifférence qui appelle l’endormissement.

    Façons d’endormi, façons d’éveillé


    ll faut donc un troisième espace. Cet espace est pour englober les précédents. Donc il doit être grand, plus grand. Et je le fais grand et de plus en plus l’agrandis pour que le premier et le second y tiennent. En vain. C’est autre chose que la grandeur ce dont il a surtout besoin pour les enfermer l’un et l’autre.
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