Ouverture
lI n’est pas de hasard,
il est des rendez-vous,
pas de coïncidence
Aller vers son destin,
l’amour au creux des mains,
la démarche paisible
Porter au fond de soi,
l’intuition qui flamboie,
l’aventure belle et pure
Celle qui nous révèle,
superbes et enfantins,
au plus profond de l’âmePortés par l’allégresse,
et la douceur de vivre,
de l’été qui commence
La rumeur de Paris,
comme une symphonie,
comme la mer qui balanceJ’arrive au rendez-vous,
dans l’épaisse fumée,
le monde me bouscule
Réfugié dans un coin
et observant de loin
la foule qui ondule
Mais le choc imminent
sublime et aveuglant
Sans prévenir arriveJe m’avance et je vois,
que tu viens comme moi,
d’une planète invisible
Où la pudeur du coeur,
impose le respect
la confiance sereine
Et plus tu t’ouvres à moi
et plus je m’aperçois
que lentement je m’ouvre
Et plus je m’ouvre à toi
et plus je m’aperçois
que lentement tu t’ouvresIl fut long le chemin
et les pièges nombreux
avant que l’on se trouve
Il fut long le chemin
les mirages nombreux
avant que l’on se trouveCe n’est pas un hasard,
c’est notre rendez-vous
pas une coïncidence.Etienne Daho – 2000
Merci, je ne connaissais pas cette chanson, je n’aime pas trop Daho d’habitude, mais la il y a des mots, et une porte d’entrée. Ce truc que l’on appelle synchronicité….
Merci les gens aussi pour tous ces mots, ces destins et histoires que je croise. J’aime. Je pense à vous.
Je suis rentré très tard dans la nuit, et je dois repartir, suis même déjà en retard. Pas envie, mais faut bien continuer. Il y a peu j’aurais dit cette fuite en avant…
J’aimerais avoir le temps, le prendre, pour moi, pour elle. Lire plus, répondre à des mots et des réflexions qui me touchent ici. Ce matin j’ai lu un fil lancé par Cher Monsieur, puis les trois dernières pages de la présentation de Fusain. Beaucoup à dire, mais pas le temps. Y reviendrais-je après ? Ne vais-je pas passer à autre chose ? l’homme retrouve sa défaite : le quotidien à écrit Michaux…
Encore beaucoup à dire…
Mais je dois filer. Bonne journée à tous !